A STAR IS BORN — LES ORRECHIETTE À LA VODKA DE JACKSON MAINE

Été 2024 – Avant de m’émerveiller devant les exploits sportifs es athlètes olympiques je me suis laissée éblouir par quelques performances de la cérémonie d’ouverture, Céline Dion – magistrale – en tête. Parmi les voix exceptionnelles, difficile d’oublier la vedette américaine Lady Gaga qui offrait un numéro en plumes et en français. Pas vraiment une première pour la chanteuse qui fredonnait déjà quelques notes de La Vie en Rose devant la caméra de Bradley Cooper dans le film A Star is born.
Prêts à retrouver une voix en or et la flamme qui anime ce duo ?

Avant Bradley Cooper, trois autres réalisateurs avaient déjà porté A Star is born sur le grand écran (en 1937, 1954 et 1976). Chaque adaptation joue avec son époque et sa réinterprétation du Pygmalion dans le monde de la musique. L’histoire du fauve prêt à passer le relai en révélant une nouvelle artiste, une jeune championne.
Le félin fatigué de (et par) Bradley Cooper se nomme Jackson Maine. Star incontestée de la country, il se bat contre de sévères acouphènes et une féroce addiction à l’alcool pour poursuivre ses shows… jusqu’à ce qu’il rencontre Ally et tombe en amour et en pamoison devant ce talent brut prêt à être façonné.

Pour révéler son étoile naissante avec la plus belle lumière, Jackson Maine mise sur la simplicité. Un piano voix et tout est là.
Alors dans l’assiette, l’authentique plat de pasta est roi, plus encore quand il s’accompagne d’une sauce à la vodka (et qu’il se trouve être la recette fétiche du duo de Cooper à la ville, la célèbre Gigi Hadid).

A Star is born révèle les plus beaux talent et leurs plus grandes failles. C’est une histoire d’amour et de démons, une ballade contre la modernité et la gloire en chansons.

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