La saison des pièces montées et des robes meringuées démarre !
Avant de passer aux 4 mariages et ce qui suit, avant de parler petits choux et de regarder danser les jeunes époux, on s’affaire à se plonger dans l’ambiance comédie romantique avec quelques classiques ! Belle occasion pour revenir sur l’un des films adoré du genre avec L’Arnacœur ; beaucoup de Duris, pas mal de Paradis et un peu de Swayze <3
Pas d’histoire de château, de princesse à sauver et autres poncifs. Le film de Pascal Chaumeil s’amuse avec un autre récit : celui d’un homme, Alex, briseur de couples professionnel déterminé à ouvrir les yeux de celles qui sont engluées dans une histoire qui sent mauvais.
A coup de mensonges et de jeux de rôles, il fonce sur ses proies pour les aider à mieux s’envoler, loin, très loin de leur couple mal engagé.
Missions trop faciles pour le séducteur samaritain qui connait son répertoire par cœur. Mission moins aisée lorsque le couple à briser est celui d’un couple qui semble parfait.
Mué en bodyguard fan de Dirty Dancing et de roquefort matinal, Alex donnera tout pour séduire sa Juliette et faire annuler son mariage.
Rien de mieux qu’un toast pour celui qui évite les mariages !
Quelques tranches de pain de campagne
18 traits d’huile d’olive pour le côté Dirty (dancing)
1 poire pour celui qui se jouait des femmes
100g de roquefort pour plaire à Juliette
Quelques noisettes pour la menace de l’homme de main pas très commode
Préchauffez votre four à 180°C, position grill.
Filez votre huile sur votre pain avant de le laisser dorer quelques minutes au four. Écrasez votre roquefort sur le pain chaud et repassez-le sur le grill encore un peu (le temps de fondre doucement). Ajoutez quelques lamelles de poivre, saupoudrez de noisettes concassées (avec les dents si vous y tenez), un peu de sel, de poivre et quelques gouttes de miel si l’humeur vous en dit.
Bon appétit !
Pas franchement guimauve mais joliment épicée, la comédie romantique de Pascal Chaumeil sait habilement jouer avec le premier mot du genre ! Bien sur il y a l’amour, évidemment, il y a le rire !
Toujours aussi efficace, L’Arnacœur s’érige en classique 🙂
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