Si certains profiteront de leur week-end Pascal pour rechercher des œufs en chocolat, ici, on s’appliquera plutôt à partir à la chasse aux tueurs en séries avec Le Silence des Agneaux.
Heureuse ambiance sanguinolente… et joyeuses Pâques, surtout !

Le Docteur Lecter est emprisonné sous haute surveillance suite à ses crimes carnassiers d’une rare violence. Aussi bien qu’il déchire les chairs de ses victimes, il sait disséquer les esprits torturés des tueurs en série – c’est du moins ce qu’espère le FBI en l’interrogeant sur Buffalo Bill, l’assassin qui sévit et qu’ils peinent à arrêter.
Pour ce dossier, il aidera la jeune Clarisse Starling et s’affairera à trouver les clés pour identifier le couturier meurtrier tout en travaillant sa doublure pour filer hors de sa cellule.

Loin des moutons fédéraux, le loup sait être discret, méthodique et doté d’un sang froid sans pareil pour renifler le parfum du crime… et passer à l’attaque au meilleur moment.

Entre les agneaux les papillons et le loup, le film de Jonathan Demme est un vrai bestiaire qui promet d’être bestial ! Pour la recette on y ajoutera le poisson, histoire de compléter la collection 😉 Forcément cru, forcément appétissant. 

Le ceviche de loup – pour Hannibal et son invitée

200g de loup sans arrête et sans peau
1 noisette de gingembre pelée à vif
1 piment fort… persistons dans l’horreur
1 citron vert
Quelques brins de coriandre
1/4 d’oignon rouge, forcément
Huile d’olive, sel et poivre

Commencez par rincer la chair de votre poisson avant de la détailler en dés.
Hachez votre gingembre menu menu et coupez finement vos piments.
Il est temps de pressez votre citron pour en extraire le jus. Déposez votre loup dans un saladier et arrosez. Jetez votre gingembre et vos piments, mélangez et laissez reposer la victime 1h au frais.
Avant de servir, préparez votre coriandre, émincez votre oignon rouge et dressez avec finesse dans vos assiettes. Le loup, les condiments, l’assaisonnement.
Prêt à être dévoré !

Parce que l’histoire du cannibale est légendaire, angoissante et fascinante, impossible de faire l’impasse sur le grand (et sanglant) Silence des Agneaux. 

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