Lorsqu’Antoine Doinel quitte le nid, ce n’est pas pour filer droit mais pour se brûler les ailes dans un Paris vrombissant.
Le parcours est brouillé mais rempli de rire et d’envie : quelques tâches d’encre baveuses sur les copies et plusieurs coquilles à l’école, un autel en l’honneur de Balzac dans sa chambre… c’est tout un monde qui s’invente avec l’imaginaire ambitieux d’un jeune garçon décidé à voler vers son avenir.

Avant de siffler une bouteille de vin avec le copain qui chipe les cigares du paternel, Antoine partage les leçons de vie (et le guide Michelin) avec son père.

Et une recette, simple comme l’histoire d’un garçon, aussi :

1 Omelette Doinel :
2 oeufs
5 cl de crème liquide
Persil plat
Sel et Poivre

Dans un récipient, cassez les deux oeufs, retirez les coquilles, ajoutez la crème, le persil coupé finement, le sel et le poivre et battez vivement. Versez la préparation dans une poêle chaude. Laissez cuire 5 à 10min.

« Sortir de l’œuf et se risquer aux 400 coups » c’est la jolie devise du garçon que j’aime suivre au fil des films de François Truffaut 🙂

A (re)découvrir : Les essais de Jean-Pierre Léaud pour “Les 400 coups“