Allez savoir si c’est le besoin de nouveaux paysages, l’attrait pour la nostalgie musicale ou le cri d’amour à Jeremy mais le confinement m’a poussée à braver mes interdits : j’ai revu Mamma Mia !
Il parait qu’il faut se dépenser ? Alors ça sera avec l’envie de bouger sur la musique d’Abba et une Meryl Streep a capella !

Donna Sheridan est une mère célibataire dynamique qui s’apprête à marier sa fille unique. Et la jeune-femme compte bien convier son père pour son grand jour, seul souci : elle ne sait pas grand chose de lui. C’est donc en fouillant dans le journal de sa maman qu’elle mettra la main sur ses trois pères potentiels… forcément charmants.
Et les retrouvailles s’annoncent évidemment chantantes 🙂

Entre les sauts comiques et les sauts dans la mer turquoise, les pirouettes scénaristiques et les pirouettes acrobatiques on assure du mouvement avec la troupe de Donna !

C’est au tour des ingrédients de danser, et à la recette de nous faire voyager ! Un peu d’USA, une note de suédois et beaucoup de soleil grec avec le cake salé de Mamma.

150g de farine
1 sachet de levure chimique
3 œufs
95 mL de lait
50 mL d’huile végétale
Sel, poivre
2 cuillères d’airelles et quelques brin d’aneth pour la Suède
50g de feta nature, quelques olives noires dénoyautées et 1/2 aubergine rôtie pour la Grèce

Préchauffez votre four à 180°C.
Dans un récipient, mélangez la lavure à la farine, ajoutez les œufs, le lait, l’huile, le sel et le poivre à votre préparation et mélangez pour obtenir un appareil lisse. Ajoutez votre garniture, mélangez à nouveau et faites rentrer le tout dans le moule (U-S-A).
Enfournez 25min à 30min.
Démoulez, découpez, dégustez !

Pas de doute, les fausses notes aussi sont de la partie mais ne serait-ce pas idéal pour concurrencer les personnages et s’inviter à la partition du film de Phyllida Lloyd ?
Mamma Mia, here we go again !

🔍 A (re)découvrir : « Fernando » par Cher a.k.a la meilleure chanson du n°2 avec la grande favorite (4min)
🍴 Et avec ça, on va manger où ? On va choper une recette de la Mamma et on s’y met fissa !