5 ans après avoir fait le portrait de Jackie Kennedy sous les traits d’une Natalie Portman saisissante, le réalisateur Pablo Larraín reprend l’exercice du biopic cinématographique avec un focus sur Lady Di.
À la rencontre de l’icône anglaise charismatique et fragile, à la découverte de Spencer.
Loin du conte de fées, loin du documentaire, le film de Pablo Larraín s’inspire de la femme pour imaginer sa fable. Pas de biographie détaillée de la princesse des cœurs, mais une invitation à la suivre durant 3 jours pour les vacances de Noël à Sandringham, accompagnée par la famille royale.
3 jours seulement. 3 jours de festivités, de protocoles et de sourires figés. Mais Diana a beau aimer la danse, la chorégraphie millimétrée de la monarchie, attentive au moindre faux pas, n’a de cesse de la déstabiliser.
En proie à ses démons et à sa mélancolie, le joli pion blond de l’échiquier n’est pas aussi lisse que les autres sujets. Petit mouton noir à la surface déjà bien craquelé… à la manière d’un crinkles de Noël.
Pour une douzaine de biscuits :
250g de farine
75g de cacao amer en poudre – salut les bons sentiments
200g de sucre roux – english fever
3 oeufs
60g d’huile de tournesol
1 pincée de sel
1 sachet de levure en poudre
1 sachet de sucre vanillé
Quelques myrtilles pour la note de bleu
Beaucoup de sucre glace
Dans un bol, mélangez le cacao, les sucres et l’huile. Ajoutez les oeufs un à un, le sel, la levure chimique et la farine jusqu’à l’obtention d’un mélange homogène.
Placez votre préparation au réfrigérateur pendant au moins 2h. Une fois le temps écoulé, préchauffez votre four à 180°C. Formez des boules de pâtes identiques en prenant soin d’enfermer quelques myrtilles pour ajouter un peu de blues au coeur. Roulez-les dans le sucre glace et disposez ces perles blanches sur votre plaque. Faites cuire 10min le temps que les craquelures se révèlent. Laissez reposer une quinzaine de minutes avant de déguster ces biscuits tendres comme la princesse.
Idéal pour le tea time 🫖
Pablo Larraín réinvente le personnage de Diana Spencer en une poupée royale indomptable rongée par l’angoisse. Entre les perles et les larmes, on se perd dans quelques lenteurs mais on se laisse emporter par l’atmosphère et par la folie intérieure de Spencer.
🔍 À (re)découvrir : Anatomie d’une scène de Spencer avec Pablo Larraín (4min)