Si je suis plutôt de la génération Britney Spears et World’s Appart, c’est pourtant une tout autre icône qui s’est installée dans mon cœur (et sur mon fond d’écran de smartphone) depuis plus de 10 ans.
Amour vintage et rock’n’roll, mes yeux brillent pour le King ! Impensable donc de louper le revival de la superstar à travers le biopic d’Elvis orchestré par Baz Luhrmann : épique ⚡
Autant le dire d’entrée, l’exercice n’est pas aisé ! Depuis quelques années, les films musicaux dédiés à un artiste ou à un groupe s’enchainent et peinent à me séduire (exception faite d’une certaine brunette). Trop lisses, trop caricaturaux, ne misant que sur le show. Alors qu’attendre d’un King raconté par Luhrmann ?
Du grandiloquent, évidemment ! Rien n’est trop extravagant pour le réalisateur australien qui use et abuse des effets de style et des mouvements de caméra pour souligner le tourbillon dans lequel l’artiste a été entrainé.
Il ne s’agira pas de retracer la vie de l’homme, mais plutôt celle du duo à l’origine de l’icône : l’artiste et son manager, leur relation complexe et destructrice.
Hommage à l’homme dont la voix, la banane et le déhanché ont su affoler les foules pendant des années et des années !
On s’évitera l’iconique sandwich d’Elvis pour imaginer une version glacée qui fait fondre les groupies et disparait en un éclair (super-héros dans l’âme).
Le Banana Sundae version King
3 bananes
Et pour les toppings…
Quelques carreaux de chocolat noir comme ses cheveux d’ebene
Quelques cacahuètes en coque et en beurre pour l’amour du peanut
Quelques chips de banane (jamais trop)
Un trait de caramel pour la gourmandise
Coupez vos bananes en rondelles et placez-les une nuit au congélateur.
Mixez-les jusqu’à l’obtention d’une nice-cream.
Ajoutez vos toppings à l’excès, façon King
It’s now or never!
Elvis ne sera pas mon film de l’année ni même mon film de l’été… mais il m’aura ému , il m’aura surprise et fait chanté !
On est reparti pour une playlist en mode repeat 💖
À (re)découvrir : “Elvis Presley au cinéma” par BlowUp – Arte (22min)
Je n’ai pas trop aimé ce film que j’ai malheureusement vu en VF très dérangée par la présence omniprésente du manager et de son accent.
à retenter en VO dans quelques mois peut-être ? 🙂